•  

    Les Warriors ont tremblé face aux Clippers

    Dominants lors de leurs quatre premières victoires, les Warriors ont dû se sublimer pour venir à bout d’une bien belle équipe des Clippers (112-108). Au terme d’un match de séries, c’est l’expérience des Warriors qui a fait la différence dans le money time. Los Angeles quitte l’Oracle Arena avec une huitième défaite consécutive dans cette salle mais avec la conviction qu’ils peuvent jouer les yeux dans les yeux avec les champions en titre. 

    No Curry No Problem

    Oui, ce match n’est que le cinquième de la saison pour les deux équipes mais il est difficile de ne pas céder à la hype qui entoure cette rencontre en entendant gronder l’Oracle Arena. Comme contre Memphis, l’intensité du début de match est surprenante pour un 4 novembre. L’ardeur du public est cependant refroidie par la deuxième faute, litigieuse, écopée par Stephen Curry après seulement trois minutes de jeu. Avec le MVP forcé de rejoindre le banc, les Clippers, et plus particulièrement Chris Paul, en profitent pour prendre le contrôle du match. Derrière l’agressivité de CP3, 9 points et 4 passes dans ce premier acte, Los Angeles passe un 7-0 aux Warriors (17-13). Si l’attaque de Golden State stagne sans son maestro, c’est en défense que les champions en titre restent dans le match. Les Warriors forcent sept pertes de balles et terminent le premier quart temps sur un 13-2 pour prendre six points d’avance (31-25).

    Le retour de Stephen Curry, dès l’entame du deuxième quart temps, permet à Luke Walton de le faire évoluer face aux remplaçants des Clippers. Il ne faut pas attendre longtemps pour le voir prendre feu face à une défense laxiste. Le meneur marque 9 points de suite et Golden State débute la deuxième période par un 15-4, repoussant L.A à 17 longueurs (46-29). Sonnés, mais pas K.O., les Clippers profitent de l’euphorie ambiante et de la baisse de concentration de leur adversaire pour grappiller des points faciles. Un panier avec la faute de Blake Griffin, suivi par deux tirs primés de Chris Paul et Lance Stephenson, et voici les Clippers de retour dans le match grâce à un 14-3 (49-43). Les dernières minutes de cette première mi-temps se résument à un duel entre les tirs longue distance des Warriors et la persévérance de Chris Paul. Auteur d’une performance remarquable avec 20 points et 6 passes, le meneur de jeu répond présent dans l’antre de son rival. À la pause, ce sont toutefois Stephen Curry et ses coéquipiers qui gardent la tête (63-56).

    Le collectif des Clippers montent d’un cran

    Au retour des vestiaires, le scenario de la première mi-temps s’inverse. Avec quatre fautes, Chris Paul se voit contraint de rejoindre le banc. En son absence, et sans surprise, les Clippers insistent sur Blake Griffin. En réponse, Golden State se tourne vers le duo Draymond Green – Festus Ezeli. Si la relation entre intérieurs est une marque de fabrique de leurs adversaires, Green exploite les rotations approximatives des Clippers pour trouver son pivot sous le cercle à plusieurs reprises. Les débats s’équilibrent dans ce troisième quart temps. Si le match était jusqu’ici dominé par les attaques, les défenses commencent petit à petit à prendre le dessus. Avec un bon travail d’Austin Rivers sur Stephen Curry, les Clippers font dérailler la machine offensive des Warriors. En quelques minutes, ils passent un 9-0 aux locaux et parviennent à revenir à égalité (77-77) derrière l’activité de Blake Griffin. Les Clippers passent même devant en fin de quart temps (83-82) et offrent aux Warriors leur premier test de leur saison.

    Toujours sans Chris Paul (touché à la cuisse selon Doc Rivers), les Clippers entament le dernier quart temps avec le vent en poupe. En confiance, à l’image de Rivers, ils passent un 10-0 aux Warriors grâce à deux tirs primés de Wesley Johnson et Josh Smith (97-87). Sans solution offensive et avec un Stephen Curry muselé, Harrison Barnes émerge comme le sauveur pour Golden State. Le Tar Heel marque un tir mi-distance pour stopper l’hémorragie puis enchaine deux tirs primés, un contre et un dunk pour ramener son équipe à une longueur. Dans son sillage, c’est tout le collectif de l’équipe de la Baie qui se réveille. Draymond Green prend en main la défense des champions en titre alors que Stephen Curry retrouve la mire de loin à deux reprises pour permettre à son équipe de reprendre les commandes du match (103-101). À trois minutes de la fin du match, l’affiche de ce début de saison tient toutes ses promesses.

    Golden State au finish

    Après un 1 sur 2 de Jordan aux lancers, dont un airball, qui redonne l’avantage aux Clippers, Stephen Curry punit une nouvelle fois la défense sur pick and roll du pivot de L.A. d’un tir primé majestueux (108-106). Une bonne séquence défensive des Warriors leur donne une première occasion de prendre deux possessions d’avance. Malheureusement pour eux, avec 42 secondes à jouer, Andre Iguodala rate ses deux lancers francs. Le MVP des dernières finales NBA croit se rattraper sur l’action suivante en forçant un ballon perdu de Blake Griffin mais les arbitres redonnent la possession aux Clippers après un interminable visionnage de la vidéo.

    À 33 secondes de la sirène, Chris Paul force et rate un tir longue distance alors que Blake Griffin était complètement ouvert sous le cercle. L.A. a raté le coche. Stephen Curry, 13 points dans le dernier quart temps, et Klay Thompson se chargent de tuer le match aux lancers. Golden State l’emporte 112-108 et reste seul invaincu à l’Ouest après cinq rencontres.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Les Warriors atomisent les Grizzlies : + 50 !!!

     

    Les Warriors atomisent les Grizzlies : + 50 !!!

    Le cliché du champion en roue libre pour débuter la saison continue d’être saccagé par Golden State. Face à une équipe qui les a poussés dans leurs derniers retranchements l’année dernière en playoffs, les Warriors ont envoyé un message à toute la ligue en écrabouillant les Grizzlies de 50 points (119-69). Même les Bulls de 1996 n’avaient pas débuté leur incroyable saison avec une telle domination ! 

    Memphis impose son style

    L’intensité, étonnante, du début de match nous ramène six mois en arrière. Comme lors des derniers playoffs, la bataille du tempo fait rage dans ses premières minutes. Derrière un Steph Curry toujours chaud après ses 53 points face aux Pelicans, Golden State joue vite. La balle bouge, les paniers s’enchainent mais Memphis ne panique pas. Petit à petit, les Grizzlies installent le jeu offensif en passant par l’omniprésent Marc Gasol (7 points, 5 rebonds et 3 passes en premier quart). Et comme l’année dernière, c’est la défense qui dicte l’issue de ces douze premières minutes. À ce jeu, c’est Memphis qui prend l’avantage. Ils limitent les Warriors à 31% aux tirs et seulement cinq passes décisives tout en forçant quatre pertes de balle. En confondant vitesse et précipitation, Golden State se jette dans la gueule du… Grizzly. Après un quart temps, Memphis a transformé cette rencontre en un duel physique et défensif (22-21).

    Il faudra une soufflante de Luke Walton, coach intérimaire des champions en titre, pour voir une réaction des locaux. Et quelle réaction ! Dans un deuxième quart temps à sens unique (32-12), Golden State nous donne une piqure de rappel. Leur ADN, le  point de départ de leur attaque de feu se trouve en défense. Sans surprise, c’est grâce à Andre Iguodala, sixième homme de luxe et baromètre de cette équipe, que les Warriors retrouvent leur identité.

    L’intensité défensive monte de plusieurs crans, les rotations sont précises et la réussite de Memphis dégringole (27.5% sur cette première mi-temps). Golden State en profite alors pour pouvoir courir et trouver des tirs faciles (46,7% dont 41,7% à trois points). Un 19-5 en milieu de période permet aux Warriors de creuser un premier écart conséquent (42-29). La fin du quart temps est dominée par l’activité défensive de la paire Festus Ezeli – Draymond Green. Et quand Zach Randolph (4 points à 2/9) et Marc Gasol (2 points dans le deuxième quart temps) sont muselés, Memphis sombre. Deux tirs primés de Klay Thompson dans la dernière minute permettent aux Warriors de rentrer aux vestiaires avec 19 points d’avance (53-34).

    L’inévitable show Steph Curry

    Si le deuxième quart temps a permis aux Warriors de retrouver leur identité, le troisième quart s’apparente, au choix à : une démonstration, un All-Star game ou, si vous êtes fan de Memphis, un film d’horreur. Et dans le rôle du monstre qui hante votre nuit post-Halloween, qui d’autre que Steph Curry ? Discret après une bonne entame, le MVP nous a offert un nouveau quart temps d’un autre monde. Circus shots, tirs primés, crossovers, passes aveugles, interceptions, Curry (30 points à 10/16), tout sourire, termine le quart temps avec 21 points et son propre top 10. Et quand votre leader est dans ce genre de zone, l’euphorie a tendance à être contagieuse. C’est tout le collectif, offensif et défensif, des Warriors qui se met au diapason pour produire les douze minutes les plus impressionnantes de ce début de saison. L’écart montera jusqu’à 46 points (93-47), dans ce quart temps.

    La fin de match ne sera évidemment qu’anecdotique. Alors que tout le monde se faisait du souci en découvrant le calendrier des Warriors pour débuter la saison, Golden State remporte son quatrième match de la saison, en autant de rencontres, et de 50 points : 119-69 !

    Le choc face aux Clippers en approche…

    En une semaine, Memphis a donc perdu de 30 et de 50 points contre les deux derniers finalistes NBA. À l’instar des dernières saisons, ils leur manquent toujours une menace extérieure pour diversifier leur jeu offensif. Dans une ligue où le tir primé est roi, Memphis risque encore une fois de se heurter aux mêmes problèmes.

    Côté Warriors, tous les voyants sont au vert avant d’affronter les Clippers. Un match qui sent déjà la poudre compte tenu des déclarations estivales des hommes de Doc Rivers et du niveau de jeu des champions en titre. Quant à Stephen Curry, après quatre matches, il a compilé 148 points, plus haut total depuis Michael Jordan lors de la saison 1991-92 (156). En 127 minutes, sur 84 tirs. What else ?

       
    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  
    La star des Golden State Warriors Stephen Curry marque un panier contre les Pelicans, le 31 octobre 2015 à La Nouvelle-Orléans
     
    La star des Golden State Warriors Stephen Curry marque un panier contre les Pelicans, le 31 octobre 2015 à La Nouvelle-Orléans
     

    Avec ses 53 points, la star des Golden State Warriors Stephen Curry a profité de la soirée d'Halloween samedi pour envoyer un message terrifiant à l'ensemble de la NBA: il est peut-être encore meilleur qu'en 2014-15.

    Les Warriors, champions NBA en titre, n'ont fait qu'une bouchée de la Nouvelle-Orléans dans sa salle 134 à 120 et ont signé leur troisième victoire en cinq jours, dont deux contre les Pelicans, leurs adversaires du coup d'envoi de la saison mardi.

    Curry a réalisé un festival, avec 28 points dans le seul 3e quart-temps: signe de sa domination et de sa confiance, il a marqué deux fois plus de points qu'Anthony Davis (26 pts), présenté comme l'un de ses rivaux pour le titre de MVP qu'il a remporté la saison dernière.

    Les New York Knicks, qui ont réalisé la pire saison de leur histoire en 2014-15, semblent aller mieux: ils ont empoché leur deuxième victoire de la saison à Washington (117-110), avec 37 points de Carmelo Anthony passés quasiment inaperçus à cause du phénomène Curry.

    . Le joueur du jour: Stephen Curry. Cinq jours après les avoir écoeurés avec ses 40 points, Curry s'est acharné sur les Pélicans de la Nouvelle-Orléans avec 53 points. Il ne lui a manqué qu'un point pour battre son record personnel (54). Il a notamment réussi un 3e quart-temps monstrueux avec 28 points, 10 sur 13 au tir dont 5 sur 7 à trois points ! Il a fini la rencontre en roue libre avec une ligne de statistiques impressionnantes: 53 points, 17 sur 27 au tir, dont huit tirs primés réussis, un sans-faute aux lancers francs (11 sur 11), quatre rebonds et neuf passes. Le MVP de la saison 2014-15 est en confiance: "Je me sens bien, tout s'est bien mis en place pour moi durant ce match, c'est pareil pour l'équipe. D'un point de vue personnel, le crois avoir progressé durant l'intersaison, je suis encore plus explosif", a-t-il lancé.

    . Le chiffre du jour: 118, le total de points marqués lors des trois premiers matches de la saison par Stephen Curry. Il faut remonter à 1989-90 pour trouver trace d'un début de saison aussi prolifique et tonitruant. Son auteur? Un certain Michael Jordan.

    . La phrase du jour: "Donnez lui déjà le titre de MVP", même Marreese Speights, le pivot de Golden State, est lui aussi impressionné par son coéquipier Stephen Curry. Pourtant avant le coup d'envoi de la saison dans la consultation réalisé par la NBA auprès de manageurs d'équipe, Curry ne pointait qu'une 5e position pour le trophée de meilleur joueur, loin du grand favori LeBron James.

    . Le Français du jour: Rudy Gobert. Un chiffre résume l'impact du pivot français dans la raquette d'Utah: 17 pour les rebonds captés contre Indiana (97-76), ce qui en fait le meilleur rebondeur de son équipe, de loin. Il a également écoeuré les Pacers, toujours en quête de leur premier succès, dont son compatriote Ian Mahinmi (6 pts, 5 rbds, 2 contres) avec deux contres et neuf points.

    Les résultats de samedi

    Indiana - Utah 76 - 97

    Washington - New York 110 - 117

    La Nouvelle-Orléans - Golden State 120 - 134

    Memphis - Brooklyn 101 - 91

    Portland - Phoenix 90 - 101

    LA Clippers - Sacramento 114 - 109

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  
    Russell Westbrook (d) des Oklahoma City Thunder contre San Antonio, le 28 octobre 2015 à Oklahoma City
     
    Russell Westbrook (d) des Oklahoma City Thunder contre San Antonio, le 28 octobre 2015 à Oklahoma City
     

    Le champion NBA en titre, Golden State, a dominé Houston, qui espère pourtant le détrôner, tandis que Russell Westbrook a marqué 48 points avec Oklahoma City au terme d'un duel de toute beauté contre Orlando, vendredi.

    James Harden a beau se présenter comme le meilleur joueur de la NBA, il a encore subi la loi de Stephen Curry.

    Dans la réédition de la finale de la conférence Ouest dominée (4-1) par les Warriors en mai dernier, Curry, sacré MVP en 2014-15, a dominé "The Beard" avec 25 points, 7 rebonds et 6 passes pour le premier, 16 points, 7 rebonds et 5 passes pour le second particulièrement maladroit (4 sur 18 au tir).

    Les San Antonio Spurs ont régalé leur public lors de la seconde période de leur duel contre les Brooklyn Nets, humiliés 102 à 75. Menés à la pause, les Texans se sont réveillés, à l'image de LaMarcus Aldrige (10 pts, 11 rbds) et de Kawhi Leonard (16 pts, 10 rbds). Tony Parker a apporté 10 points et 4 passes, Boris Diaw 7 points, 3 passes et autant de rebonds.

    Russell Westbrook a fait le show lors de la victoire 139 à 136 au terme de la 2e prolongation d'Oklahoma City à Orlando: il a marqué 48 points en 48 minutes, capté 11 rebonds et fait 8 passes décisives. "Russell a été extraordinaire, il s'est battu jusqu'au bout", a admiré son coéquipier Kevin Durant, MVP de la saison 2013-14 et auteur de 43 points.

    Les Lakers de Kobe Bryant (13 pts, 4 rbds, 3 passes) ont concédé leur deuxième défaite de la saison en autant de matches, certainement pas la dernière à voir la façon dont ils ont été dominés par Sacramento 132 à 114.

    La meilleure équipe de NBA est à la surprise générale Detroit, qui a signé sa troisième victoire en autant de matches. Les Pistons ont fait mordre la poussière (98-94 après prolongation) à des cadors, les Chicago Bulls de Derrick Rose (8 pts), Paul Gasol (16 pts) et Joakim Noah (2 pts), dans son nouveau rôle de remplaçant de luxe.

    . Le chiffre du jour: 91, le total de points inscrits par les fines gâchettes d'Oklahoma City, Russell Westbrook et Kevin Durant, après les 48 minutes de temps réglementaire et deux prolongations face à Orlando. OKC s'est finalement imposé 139 à 136 avec un phénoménal Westbrook qui a envoyé les deux équipes en prolongation avec un improbable tir de la moitié du terrain à la dernière seconde.

    . La première du jour: LeBron James, Chris Bosh et Dwyane Wade. Pour la première fois depuis son départ pour Cleveland en juillet 2014, "King James" s'est retrouvé sur un terrain NBA en même temps que ses deux anciens lieutenants de Miami, Chris Bosh et Dwyane Wade. Si James avait disputé la saison dernière les quatre matches des "Cavs" face au Heat, Bosh et Wade ont été tour à tour blessé ou malade, dans le cas de Bosh, victime d'une embolie pulmonaire. "LBJ" n'a eu aucune pitié pour ses anciens coéquipiers avec qui il a remporté deux titres NBA entre 2010 et 2014: 29 points, 5 rebonds et 4 passes: pour son premier match à domicile, Cleveland, finaliste malheureux pour le titre 2015, s'est imposé 102 à 92.

    . Le Français du jour: Rudy Gobert. Le pivot d'Utah rêve du All Star Game et du titre de meilleur défenseur de la NBA: il a posé une premier jalon en vue de ses objectifs avec une soirée fantastique contre Philadelphie avec 11 rebonds, 6 contres et une efficacité de +34! Le tout agrémenté de 8 points (50% de réussite) qui ont permis à Utah de signer sa première victoire de la saison, 99-71 à Philadelphie. Evan Fournier a participé au festival offensif OKC-Orlando avec ses 22 points.

    Les résultats de vendredi:

    Houston - Golden State 92 - 112

    Atlanta - Charlotte 97 - 94

    San Antonio - Brooklyn 102 - 75

    Boston - Toronto 103 - 113

    Detroit - Chicago 98 - 94 a.p.

    Cleveland - Miami 102 - 92

    Orlando - Oklahoma City 136 - 139 après 2e prolongation

    Philadelphie - Utah 71 - 99

    Sacramento - LA Lakers 132 - 114

    Denver - Minnesota 78 - 95

    Milwaukee - Washington 113 - 118

    Phoenix - Portland 110 - 92

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  
    Gregg Popovich, Tony Parker et les San Antonio Spurs reçoivent Brooklyn vendredi soir. (Presse Sport)

    Gregg Popovich, Tony Parker et les San Antonio Spurs reçoivent Brooklyn vendredi soir. (Presse Sport)

    L'affiche à ne pas manquer : Houston Rockets - Golden State Warriors

    Si la rencontre entre les Detroit Pistons et les Chicago Bulls vaudra le détour en début de soirée, puisque les deux équipes ont remporté leurs deux premiers matches de saison régulière, l'affiche entre Houston et Golden State s'annonce tout aussi, voire plus, alléchante. Fort de son net succès face aux New Orleans Pelicans lors de la soirée inaugurale, le champion en titre passe un vrai test dans le Texas face à des Rockets qui récupèrent pour l'occasion Dwight Howard, de retour de suspension. Rien que le duel entre James Harden et Stephen Curry laisse rêveur...
     

    Les Français à suivre

    Huit Frenchies auront l'occasion de s'exprimer vendredi soir. A commencer par Evan Fournier, très discret lors de sa première sortie avec Orlando. Le Magic ne sera pas favori à domicile face à Oklahoma City. Dans le même temps, Rudy Gobert sera en déplacement avec le Utah Jazz à Philadelphie. Joakim Noah cherchera à marquer ses premiers points de la saison pour Chicago, à Detroit. Nicolas Batum se rend à Atlanta avec Charlotte tandis que Damien Inglis et Milwaukee accueillent les Washington Wizards. Le duo Parker-Diaw, battu à Oklahoma City, accueillent les Brooklyn Nets à l'AT&T Center de San Antonio. Enfin, Joffrey Lauvergne (Denver) tentera de confirmer la bonne impression laissée lors de son premier match, face aux Minnesota Timberwolves.
     

    Le programme complet

    Cleveland Cavaliers - Miami Heat (00h00, heure française, diffusé par beIN Sports)
    Orlando Magic - Oklahoma City Thunder (00h00, h.f.)
    Philadelphie Sixers - Utah Jazz (00h00, h.f.)
    Boston Celtics - Toronto Raptors (00h30, h.f.)
    Detroit Pistons - Chicago Bulls (00h30, h.f.)
    Atlanta Hawks - Charlotte Hornets (1h00, h.f.)
    Milwaukee Bucks - Washington Wizards (1h00, h.f.)
    San Antonio Spurs - Brooklyn Nets (1h30, h.f.)
    Denver Nuggets - Minnesota Timberwolves (2h00, h.f.)
    Houston Rockets - Golden State Warriors (2h30, h.f.)
    Sacramento Kings - Los Angeles Lakers (3h00, h.f.)
    Phoenix Suns - Portland Trailblazers (3h30, h.f.)
    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique
NBA - Offiical Logo